La séance avait réuni une représentation du Ministère de l’Economie maritime, de l’autorité de coordination, de la PIA, de l’Office Togolaise des Recettes (OTR) et des transitaires de l’UPRAD et de l’ACAD.

Les échanges ont porté sur les procédures opérationnelles devant régir le transfert des marchandises depuis le port autonome de Lomé jusqu’à la plateforme industrielle d’Adétikopé et la mainlevée de la douane conduisant à l’enlèvement et à l’acheminement des marchandises vers leurs destinations finales.

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Ce nouveau port sec d’une superficie de 20 hectares, et est capable de contenir 12 500 conteneurs. Il devrait permettre un désengorgement du port de Lomé, tout en servant de plateforme de manutention et de déplacement des marchandises en provenance ou à destination du port au profit des pays de l’hinterland.

L’opérationnalisation de ce port sec d’Adétikopé est le résultat des travaux du Ministère de l’Economie maritime, de la Pêche et de la Protection côtière accentué ces derniers temps par de différente rencontres de divers acteurs dans le but de l’efficacité de son opérationnalisation.