Sommet de Dakar 2 sur l’agriculture : des solutions pour une souveraineté alimentaire en Afrique
Le développement des agropoles a été l’un des sujets majeurs de discussion lors du deuxième Sommet sur la souveraineté alimentaire en Afrique qui s’est tenu à Dakar, du 25 au 28 janvier 2023. Une trentaine de chefs d’État et 60 ministres de 42 Etats africains ont participé à cette grande réunion, coorganisée par le Sénégal et la Banque africaine de développement (BAD), selon des sources proches du sommet.

Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
LIRE AUSSI - Sahel et Afrique de l’Ouest : à la recherche d’alternatives à la crise alimentaire
Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
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"Déclaration de Dakar"
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
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Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
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Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
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Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
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"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
LIRE AUSSI - Sahel et Afrique de l’Ouest : à la recherche d’alternatives à la crise alimentaire
Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
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Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
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Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
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Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
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Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
LIRE AUSSI - Sahel et Afrique de l’Ouest : à la recherche d’alternatives à la crise alimentaire
Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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Pour le premier ministre sénégalais, Amadou Ba, "le moment est de rompre avec la dépendance vis-à-vis d’autres pays, parfois moins dotés en ressources, mais qui ont réussi à se rendre incontournables sur le marché mondial des produits alimentaires".
La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
Dans une "Déclaration" parvenue à Nzaranews, les participants au Sommet de Dakar ont décidé de "finaliser l’élaboration des pactes nationaux pour l’alimentation et l’agriculture, approuvés lors des travaux, en collaboration avec les parties prenantes des pays, les partenaires au développement et le secteur privé, afin de parvenir à la sécurité et à l’autosuffisance alimentaire".
Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
Les gouverneurs des banques centrales et les ministres des Finances devraient élaborer des mécanismes de financement pour mettre en œuvre les accords sur l’alimentation et l’agriculture, en collaboration avec les ministres de l’Agriculture et les partenaires et organisations multilatéraux.
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.
Des débats et partages d’expériences ont caractérisé les travaux marqués par la recherche des voies et moyens de développer les agropoles. Face aux changements climatiques et aux effets du conflit russo-ukrainien, l’objectif aujourd’hui est d’assurer la souveraineté alimentaire des pays africains. A cet effet, la réussite de ce challenge doit passer par une synergie des actions des Etats, afin de trouver des stratégies pour transformer le paysage agricole, en initiant des bases de durabilité de système de production.
"Le nouveau paradigme de souveraineté alimentaire préconise que l’Afrique consomme ce qu’elle produit, et produit ce qu’elle consomme", a fait savoir le premier ministre sénégalais, Amadou Ba.
"Déclaration de Dakar"
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Les acteurs du secteur privé sont appelés à s’engager en faveur de pactes nationaux de fourniture de denrées alimentaires et de produits agricoles, en vue d’orienter les politiques, de créer des réformes structurelles et d’attirer les investissements du secteur privé…
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La BAD met déjà la main à la poche !
Dix (10) milliards de dollars seront déboursés au cours des cinq prochaines années pour aider l’Afrique à éradiquer la faim et devenir le principal fournisseur de denrées alimentaires pour elle-même et pour le reste du monde. Pour Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement, les dirigeants africains doivent prendre des mesures collectives pour libérer le potentiel agricole du continent et en faire un "grenier du monde".
Le sommet Dakar 2 sur le thème, « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », était une initiative née de la volonté des dirigeants du continent de transformer l'agriculture africaine en secteur inclusif axé sur la compétitivité à l'échelle mondiale, créatrice de richesse et d'emploi bien rémunéré, et améliorant la qualité de vie des populations.